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MessageSujet: Contexte   Contexte Icon_minitimeMer 7 Nov - 19:15

Version courte

Depuis quelques mois maintenant, une trilogie fait un tabac dans le monde entier. Je me décide enfin d'aller la lire à la bibliothèque.  Elle raconte la vie d'une jeune fille nommée Alizée.
Suite a un terrible tremblement de terre, l'école où elle se trouvait s'effondra. Il y eût plusieurs blessés, dont un mort. Notre pauvre Alizée. Mais l'histoire n'est pas encore terminée...

Elle se retrouva debout, dans une petite pièce d'environ cinq mètre carrés.  Elle ignorait ce qui lui arrivait. Elle savait qu'elle était morte, mais que faisait-elle là, devant cette machine ? Oui, il y avait une machine ... Une étrange machine, une borne plus précisément. Comme celles des distributeurs de billets où vous selectionnez ce que vous souhaitez. Des inscriptions étaient notées sur l'écran.

Veuillez choisir votre groupe.

En dessous de cette phrase, l'écran était scindé en deux, affichant d'une part hybride, et d'autre part anormaux. Ne sachant pas quoi faire, elle posa son doigt sur l'une des deux cases. Anormaux. Dès qu'elle eût fait cela, l'écran s'éteignit, et une impression de chute l'empara.

Elle se reveilla allongée, dos contre le sol, en haut d'une haute colline. Elle n'avait mal nulle part, et quand elle ouvrit les yeux, un ciel étoilé s'offrit à son regard.Après s'être levée, elle découvre un paysage incroyable : une ville vue de nuit, et vue de haut.

Il y avait un escalier, à quelques mettres d'elle. Un escalier, alors qu'elle était sur une colline, avec une végétation abondante ? Ca semblait tellement étrange. Alizée s'y engaga et le descendit. Il était long, très long. Une fois en bas, elle se trouva face à une route. Elle marcha dessus, a pied nus, pendant une dizaine de minutes, avant d'arriver à la ville qu'elle avait vu d'en haut. Il y avait beaucoup de monde, et les gens semblaient normaux. Semblaient. Quand elle rejoignit l'une des grande rues, une femme des plus banales vint la voir. Elle lui expliqua la situation : Alizée se trouvait dans un monde parallèle, où les humains arrivent ici après être morts. La borne qu'elle avait vu en venant  était en fait ce qui allait définir sa nature. Elle devait choisir son camp, même en n'ayant aucune information. La femme lui présenta aussi les groupes présents dans ce monde, à Anadran. Elle, était une anormale. Elle avait un pouvoir ; son nom était inscrit sur un papier qu'elle trouva dans sa poche. Perception du mal. La femme lui expliqua également qu'elle pourrait rencontrer des gens qui l'aideraient à contrôler son pouvoir. Elle les trouva par la suite ; c'était simplement ses amis. Au bout d'une année, elle contrôlait son don pratiquement à la perfection. Une prodige, comme ils diraient. Elle pouvait savoir si les intentions de quelqu'un étaient bonnes ou ... Mauvaises. Ce qui était plutôt pratique, vu l'objectif que Alizée et ses compagnons s'étaient fixés : renverser le gouvernement. Mais pourquoi cela ?

Par la suite, l'auteur nous raconte la raison pour laquelle ils veulent s'en prendre au gouvernement : ils veulent être libres. Certains de leur petit groupes veulent être les nouveaux dirigeants d'Anadran, d'autre veulent mourir réellement, quitter ce monde, mais en aidant les autres à réaliser leur projet. Et ils souhaitent réaliser ça, à cinq. Deux hybrides, deux anormaux ainsi qu'un natif. Après avoir obtenu les plans du bâtiment central, la tour du gouvernement, ils pénétrèrent dans l'énorme forteresse. Ils savent où ils sont et où ils doivent aller : au dernier étage, où se trouve le ou la gérante de ce monde. Cela leur faisait vingt étages à gravir, sachant que seuls le premier et le deuxième sont autorisés au public. À partir du moment où ils prennent les escaliers menant au deuxième étage, c'est une course contre la montre qui s'engage. L'alarme se met en route, la règle étant de ne laisser passer sous aucun prétexte une personne extérieure aux étages supérieurs, le gouvernement s'engage dans une course poursuite sans merci à la poursuite de nos cinq jeunes.

Dès le cinquième étage, le natif tombe de fatigue, et se fait tuer par le gouvernement. Tous accélèrent, l'hybride tigre se transforme, mais se fatigué également au onzième étage, ce qui lui sera fatal, tout comme au natif. Ils leur reste neufs étages, et ils ne sont plus que trois, sachant que l'un des anormaux commence à se sentir mal et à ralentir. Alizée court aussi vite qu'elle peux à travers les escalier, sans s'arrêter, même si elle n'en peux plus. Au treizième, l'anormal qui se fatiguait se casse la figure, et se fait rattraper par le gouvernement. Ils ne sont plus que deux, et ils parviennent jusqu'au vingtième étage. L'autre hybride encore en vie se prend une balle en pleine tête, qui le tue sur le coup. Alizée, remarquant qu'elle est désormais seule, entre dans le sas posté juste devant le bureau du dirigeant et ferme la lourde porte qui était ouverte. Voilà, elle était sauvée, rien ne pouvait ouvrir cette porte blindée.

Elle soupire un bon coup. Elle était arrivée là ou elle devait être ... Mais maintenant ? Que devait-elle faire ? Pas moyen de retourner en arrière, même elle ne pouvait plus ré-ouvrir cette porte. Elle était coincée, la porte menant au bureau était fermée. Dans ce sas, il n'y avait qu'une chose : un bouton, juste à côté de la porte où elle veux aller. Elle sentait grâce à son pouvoir que la personne derrière cette porte n'était pas là pour le bien de tous. C'est très, même trop suspect, mais elle décide tout de même d'appuyer sur le bouton. Et là, pendant deux secondes, rien ne se passe. Mais après ces deux secondes, un énorme bloc de métal tombe et s'écrase sur elle, la broyant totalement. La tuant sur le coup.

Et la trilogie se termine de cette façon.

La fin m'a un peu déçu, mais bon. Je sors de la  bibliothèque. Il fait déjà noir dehors, mais pourtant, il n'est pas si tard que ça. Je descend les marches du bâtiment pour repartir chez moi. Je passe sur le passage piéton, et tourne brusquement la tête vers la droite.

La dernière chose que j'ai vue était les phares d'une voiture roulant à pleine vitesse.

Je ne comprend pas bien ce qui m'arrive. Je suis debout, dans une pièce d'à peine cinq mètres carrés. Il y a une borne automatique face à moi. Je met quelques secondes à comprendre.

Anadran.


Dernière édition par W le Mar 5 Nov - 18:12, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Contexte   Contexte Icon_minitimeMer 8 Mai - 10:51

Version longue

Je me réveille tôt ce matin. Il est à peine six heures ... J'avais demandé à la bibliothécaire de me laisser entrer avant l'heure habituelle. Elle avait accepté, j'ai vraiment de la chance qu'elle fasse partie des connaissances de ma mère. Je me lève donc lentement, en posant un pied après l'autre au sol. Je suis bien réveillé, mais je me lève toujours doucement.Je pose mes deux mains sur mes deux genoux et me lève d'un coup. Je marche d'une façon peu vive jusqu'à la sale de bain, où je me rince le visage. Je fixe mon regarde dans le miroir étincelant quelques secondes, avant de reprendre mon esprit en main. « S'habiller, déjà. » pensais-je. J'enfile mon tee-shirt et mon jean, avant de mettre les chaussettes et mes chaussures . Je ne coiffe pas le matin, même si mes cheveux sont assez longs. Je descend les escaliers, attrape mon sac à dos, où j'ai mis mon pic-nique et sort de ma maison sans fermer la porte derrière moi.



Je me met à marcher en direction de la bibliothèque. Il fait assez beau, aujourd'hui. Le soleil commençait enfin à pointer le bout de son nez. Il était temps, d'ailleurs ! Nous sommes le seize juillet et il pleuvait depuis le début de l'été. Le quatorze juillet n'avais même pas eut lieu tellement l'averse avait été puissant .. Je traînait les pieds les pieds en marchant lentement dans les flaques d'eau encore présentes. Une bonne demi-heure plus tard, je me trouve face au grand bâtiment. La porte est encore fermée...



Je monte les quelques marches pour arriver devant l'imposante porte. J'allais frapper dessus, mais la bibliothécaire ouvrit la porte avant que j’eus le temps de le faire. Je lui offre mon plus beau sourire avant de la saluer. Elle fît de même, et j'entre dans le bâtiment. À peine arrivé face aux étagères, je remarque une petite pile de trois livres. << Je te les ais préparés ! >> me dit-elle avec enthousiasme. Ah oui, c'est vrai, que suis-je bête ! Je lui avait dit ce que j'étais venu faire ici. Je la remercie puis je m'installe devant les livres. C'était une trilogie très populaire en France. Enfin, dans le monde entier, même ! Cette fameuse série se nomme Anadran et elle a été écrite par un auteur anonyme. Personne ne sait qui c'est : un homme ou une femme, si c'est une personne connue ou non. Certains critiques disent même que c'est un enfant ! J'avais eût vent de ce livre, et tout le monde en parlait. Il fallait que je le lise...Je prit le tome numéro un, m'installa sur un fauteuil en posant mon sac à côté de moi, et commença ma lecture.

Quand je suis arrivé à la dernière page, il était onze heures environ, et il y avait beaucoup de monde dans la bibliothèque. Je ne l'avais même pas remarqué jusque là, tellement j'étais concentré à lire. Ce livre valait ce qu'on disait de lui ! La lecture était littéralement absorbante. Dans ce premier tome, l'auteur racontait l'histoire d'une jeune fille nommée Alizée. Au début de l'histoire, tout allait bien, jusqu'au moment où l'élément perturbateur intervient. Pendant qu'Alizéee était à l'école, un tremblement de terre se déclenche. Elle était au dixième étage à ce moment là. L'école s'effondra complètement. Dans la catastrophe, vingt blessés légers, douze blessés graves, et un mort. Ce mort, c'était notre jeune héroïne. On aurait pu nous laisser croire que c'était la fin des romans, mais non .. Nous n'en étions qu'au premier, l'aventure n'était donc pas terminée pour Alizée.
Elle se retrouva debout, dans une petite pièce de cinq mètres carrés. Elle ne savait pas ce qui lui arrivait. Elle savait pourtant qu'elle était morte, mais alors, que faisait-elle là, debout, face à cette machine ? Oui, il avait une machine... Une étrange machine. Comme celles qu'on voit dans les super-marchés, où vous sélectionnez ce que vous voulez... Elle s'y en approcha, et découvrit les inscriptions qui étaient notées sur la machine.
« Veuillez choisir votre groupe. »
Un groupe ? Oui, et il y en avait deux d'affichés. L'écran scindé en deux, affichant d'une part hybrides, et d'autre part, anormaux. Bien évidement, elle ne sais pas ce qui se passe, et ne sais pas quoi faire... Mais elle finit par poser son doigt sur la partie de l'écran affichant anormaux. Dès qu'elle eût fût ceci, l'écran, la seule source de lumière de la minuscule pièce s'éteignit. Elle eût l'impression de tomber.
Et c'est ainsi que ce conclut ce premier tome...

Pressé de savoir comment cette histoire continue, je prend le second tome.

Et voilà ... J'étais encore absorbé par ma lecture ! Je n'ai encore une fois, pas vu l'horloge tourner. Déjà 16 heures... Mais l'endroit était bien plus vide que ce matin. Ce tome était encore mieux que le premier... Je n'avais même pas remarqué que mon ventre criait famine. Je me lève, et sors du bâtiment, pour m'installer sur les marches. Je sors un sandwich de mon sac, et croque dedans à pleine dents. Ce que ça fait du bien de manger ! J'ai hâte de lire le troisième et dernier tome. Dans celui-ci, après que la pièce devint totalement noire, elle se réveille, le dos contre le sol, en haut d'une colline. Elle n'avais mal nulle part, et quand elle ouvrit les yeux, un ciel étoilé s'offrit à son regard. Elle se lève. Elle est habillée d'un simple pull et d'un pantalon noir à poches. Et elle voit un paysage incroyable : une ville, vue de nuit, et vue d'en haut. C'en était impressionnant, que ce soit pour les lumières ou pour la hauteur. Il y avait un escalier, à quelques mètres d'elle. Un escalier, alors qu'elle était sur une colline, avec une végétation abondante ? Ça semblait tellement étrange. Notre jeune Alizée prend donc cet escalier, et le descend. Il était long, très long. Mais une fois en bas... Il n'y avais qu'une route, faite d'une matière étrange ; pas trop dure pour être du béton et pas assez souple pour du caoutchouc. Marcher dessus devait être agréable, même à pied nu. Revenons en à notre Alizée... Elle marche donc sur cette route, pendant une dizaine de minutes. Il ne lui fallut que dix minutes pour rejoindre cette ville qu'elle avait vue d'en haut... Ça semblait tellement futuriste. Les voitures , les bus, qui n'avaient pas de roues mais qui flottaient dans les airs, sans aucun bruit de moteur. Les quelques grattes-ciels, plus grands les uns-que les autres, avec des écrans géants dessus. Le sol, qui était de la même matière que le chemin qu'elle avait prit pour arriver jusqu'ici. Les gens semblaient normaux. Oui, semblaient, car ils ne l'étaient pas tous. Quand elle rejoignit une des rues, une personne, des plus banales, vint la voir. Elle lui expliqua sa situation : elle était dans un monde parallèle, où des êtres humains arrivent ici après être morts. Elle lui explique ce à quoi sert à borne qu'elle avait vu plus tôt : c'était à ce moment là qu'elle devait décider de ce qu'elle voulait être, même si on ne lui donnait aucune explication. La femme lui expliqua qu'il y avait plusieurs sortes de groupes ici, à Anadran. Il y avait le gouvernement, qui était la base de ce monde, c'était ceux qui gèrent les hauts postes. Ensuite, les mutants : ce sont des humains décédés, mais leur passage entre les deux mondes ne se déroula pas parfaitement. Leurs organes sont plus évolués (par exemple, cheveux de couleur invraisemblable ou une taille extrêmement grande). Il y avait aussi les natifs, c'est à dire, les gens comme la femme : des gens qui sont nés ici, sans aucun pouvoir particulier. C'est eux qui expliquent aux arrivants leur situation, et tout ce qu'il y a à savoir. Ensuite, les hybrides. Ce sont des êtres humains décédés, ayant choisi à la borne ce groupe. Ils sont croisés avec un animal. Et pour finir, les anormaux. Ceux qui ont un pouvoir, quelque chose d'extraordinaire en eux. La femme aux yeux rouges lui dit de regarder dans la poche de son futal. Il y avait un petit papier, avec noté dessus quatre mots : Anormaux - Perception du mal. C'était donc ça, son pouvoir. La femme lui explique que les pouvoirs et les animaux pour les hybrides sont attribués au hasard, et elle était tombée là dessus. La femme lui dit qu'il y a des personnes qui peuvent l'aider à contrôler son pouvoir. Il suffit de les trouver. Et ensuite, elle s'en vas.
Alizée ne sait plus trop quoi penser. Elle était seule dans cet environnement nouveau, sans savoir quoi faire ni ou aller. Mais... La femme lui avait dit qu'il y avait un moyen de contrôler son pouvoir ? Elle décida de chercher ces personnes. Mais en fait, il s'agissait de simples amis qu'elle avait rencontré, et qui s'y connaissaient. Au bout d'une année, elle contrôle son pouvoir relativement bien : elle peux savoir si les intentions d'une personne sont bonnes ou mauvaises, quelque chose de très pratique dans la mission, le but qu'elle s'est fixé avec ses amis : renverser le gouvernement. Mais pourquoi faire ça ?

Et le tome s'achève sur ces révélations.

Je sors ma bouteille d'eau, et en bois une bonne moitié, avant de retourner dans la bibliothèque. J'ai mal au dos... Je devrai retourner chez moi, mais j'ai vraiment envie de lire la suite. Je sais que je pourrai le lire assis dans le fauteuil du salon mais... Je préfère ici. J'ai de la compagnie, au moins. Bref ... Je prend le troisième et dernier roman, et me pose dans un fauteuil. Je soupire un bon coup, avant de me lancer dans la conclusion de cette histoire.

Non ... Je ne rêve pas, j'étais encore une fois plongé dans le livre ! Dix neuf heures passées, la bibliothécaire est en train de faire évacuer la salle pour pouvoir fermer... Je m'en voudrai toujours, de ne pas faire attention au temps. Ce dernier tome était tout aussi attractif mais ... La fin, je la trouve lamentable. Elle ne vaut pas les deux premiers tomes...
Dès le début, l'auteur nous raconte la raison pour laquelle ils veulent s'en prendre au gouvernement : ils veulent être libres. Certains de leur petit groupes veulent être les nouveaux dirigeants d'Anadran, d'autre veulent mourir réellement, quitter ce monde, mais en aidant les autres à réaliser leur projet. Je trouve ça tellement nul, ils ne sont que cinq ! Deux hybrides, et deux anormaux, et un natif qui les avaient rejoins... Mais bon. Ils on réussi à obtenir les plans du bâtiment grâce à quelques actions pas vraiment autorisées... Ils pénètrent dans l'énorme bâtiment, qu'on peux facilement comparer avec une forteresse. Ils savent où ils sont et où ils doivent aller : au dernier étage, où se trouve le, ou la gérante de ce monde pouvant paraître cauchemardesque pour certains. Ça leur faisait vingts étages à monter, et seul l'accès du premier était autorisé au public pour avoir des renseignements. À partir du moment où ils prennent les escaliers menant au deuxième étage, c'est une course contre la montre qui s'engage. L'alarme se met en route, la règle étant de ne laisser passer sous aucun prétexte une personne extérieure aux étages supérieurs, le gouvernement s'engage dans une course poursuite sans merci à la poursuite de nos cinq jeunes. Dès le cinquième étage, le natif tombe de fatigue, et se fait tuer par le gouvernement. Tous accélèrent, l'hybride tigre se transforme, mais se fatigué également au onzième étage, ce qui lui sera fatal, tout comme au natif. Ils leur reste neufs étages, et ils ne sont plus que trois, sachant que l'un des anormaux commence à se sentir mal et à ralentir. Alizée court aussi vite qu'elle peux à travers les escalier, sans s'arrêter, même si elle n'en peux plus. Au treizième, l'anormal qui se fatiguait se casse la figure, et se fait rattraper par le gouvernement. Ils ne sont plus que deux, et ils parviennent jusqu'au vingtième étage. L'autre hybride encore en vie se prend une balle en pleine tête, qui le tue sur le coup. En remarquant qu'elle est désormais seule, elle pénètre dans le sas posté juste devant le bureau du dirigeant et ferme la lourde porte qui était ouverte à ce moment là. Voilà, elle était sauvée, rien ne pouvait ouvrir cette porte blindée. Elle soupire un bon coup. Elle était arrivée là ou elle devait être ... Mais maintenant ? Que devait-elle faire ? Pas moyen de retourner en arrière, même elle ne pouvait plus ré-ouvrir cette porte. Elle était coincée, la porte menant au bureau était fermée. Dans ce sas, il n'y avait qu'une chose : un bouton, juste à côté de la porte où elle veux aller. Elle sentait grâce à son pouvoir que la personne derrière cette porte n'était pas là pour le bien de tous. C'est très, même trop suspect, mais elle décide tout de même d'appuyer sur le bouton. Et là, pendant deux secondes, rien ne se passe. Mais après ces deux secondes, un énorme bloc de métal tombe et s'écrase sur elle, la broyant totalement. La tuant sur le coup.

Et c'est la fin de cette trilogie.

Je suis dégoûte de cette fin qui me semble trop banale comparé au reste de l'histoire. Bref... Je me lève, attrape mon sac et le met sur mon dos. Je dis au revoir à la bibliothécaire, et sort du bâtiment. Tiens... Il fait déjà noir, pourtant il n'est pas si tard que ça. Nuit noire à dix neuf heures en plein été, ça semble bizarre. Mais bon. Je descend les marches de la bibliothèque pour repartir chez moi. Je passe sur le passage piéton, et tourne brusquement la tête vers la droite.

La dernière chose que j'ai vue était les phares d'une voiture roulant à pleine vitesse.

Je ne comprend pas bien ce qui m'arrive. Je suis debout, dans une pièce d'à peine cinq mètres carrés. Il y a une borne automatique face à moi. Je met quelques secondes à comprendre.

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